Archives de la catégorie ‘textes de chansons que j’ai écrite’

Je suis un célibataire

Un chômeur salarié

Un solitaire de fins de semaine

Le jour je travaille à perdre l’ennui

Le soir je chante mes oublis

Le regard fixé au mur

La vile horloge m’interpelle

Dans mon appartement

Tous semblent tristes

Chu u célibataire endurcie

Qui s’obstine dans son décor

Je suis dépendant

De mes dépendances

Je n’en suis encore qu’un

un pourvoyeur sans budgets

Dans mon appartement

Tous semblent tristes

Chu u célibataire endurcie

Qui s’obstine dans son décor

Le jour je travaille à perdre l’ennui

Le soir je chante mes oublies

Il y a rien de trop beau

Moi je me refroidis avec l’ennui sans faire de bruits

Les fruits récolté la sueur de mon front

Ne se que de belle façon cela reflète ma passion

Destiné a chanté au cœur des villes

Plein de richesses, mais pas à la bonne adresse

Mon cœur outragé par ses pleurs de noblesse

Blaser par mon métier je suis un chevronner

Pas besoin de passer par 4 chemins

Écoute juste ce refrain

(

(Orpheline et élie)

 Comme une étrangère

J’erre depuis si longtemps

Dans les chemins obstruer

De la ville a cherché un abri

Comme une étrangère

À quoi bon me mentir

Dans mes silences

Laisser- moi me reposer

Dans les clergés du ciel

Petite orpheline ne tend va pas

Laisse-moi t’aider à consoler

Ton cœur parle moi

Depuis a tendre enfance

Je voyage de foyer en maison

Ou l’on veut de moi la petite orpheline

Pauvre petite n’aie pas peur

Je suis ton oreille ton courent

Vous qui savez tous mais ne faites rien

Me disant a l’abri le sir venu

À contourner la ville a cherché un abri

 Petite je te tends les bars j’écrirai

Sur les murs libres de la ville

Tes chagrins tes ennuies

Dans le vaste  infini  de l’oublie

Je suis  de celle qu’on dévoile

 Qu’on oublie moi l’orpheline

Trouveras-tu la force de peindre

Un sourire a ton enfance blessée

À tous tes rêves encore  oublier

Je retrouverai la force crois moi!

Retrouverait Celle que j’étais, avant

 qu’on abuse de moi crois, moi !

Bonheur préconçu

Un Bonheur préconçu

Pour une âme perdue

Je démêle mon passé

Pour ne pas succomber

À la tentation de vieux démons

Je dois accepter mon quotidien

 Pour gagner mon pain

si mes lendemains éveillent

Me semble tous pareils

Travailler a la sueur de mon front

À endurer mon patron

Pour arriver à mes ambitions

J’regarde au fond de moi

quessé que je vois

Un petit enfant

Qui rêve grand

Plein de misères

 Au tour de moi

Que puis-je y faire

La vie est pleine de mystère

Je ne cherche plus

À comprendre la vie

Elle se chargera

 De me faire comprendre

J’ouvre mes paupières

Pour y voir plus clair

J’chus pas ébloui par la vie

Wu veut tu

C’est ainsi

Écrasé sur mon divan

À me laisser gruger

Par de vieux remords

À penser à l’usure

Des drogues et alcools

Mon diriger vers mes déboires

J’regarde autour

Yas  pas de détour

J’dois aller de l’avant

Car à reculons

J’planterai d’apion

Plein d’ouvrages inachevés

Ce n’est pas moi Dieu

Je ne peux pas nous sauver

Je dois accepter mon quotidien

Pour gagner mon pain

Je demande à st-pierre de l’audace

Pour laissse3r ma trace

Dame nature

Nous fait la vie dure

On y a ben contribué avec notre pollution

Un bonheur préconçu

Pour une âme perdue

Je démêle mon passé

Pour ne pas succomber

À la tentation de vieux démon

Dame pleure dame vie

 

Sur cette plage enchantée

Dame pelure dame rie

Elle vie ses soupirs

 

Belle de ses jours

Tant de ses nuits

 

Dame pleure

Dame vie

 

Les oiseaux sifflent

Son message

Que des mots d’amour

 

Dame pleure

Dame vie

A coté de mes nuits

 

Je ne peux pas l’oublier

Non jamais

 

Belle de ses jours

Tant de ses nuits

 

Dame pleure

Dame vie

 

souvenir

Publié: 21 août 2011 dans textes de chansons que j'ai écrite

Souvenir

 

Voici la clef

De notre enfance

 

De la maison de la grande vallée

Ou nous somme rencontrer

 

Comme deux gamins

Le cœur a la main

 

Sans penser a demain

Nous vivions le présent

De notre futur

 

Les années ont passé

Les fleurs se sont année

Dans le jardin

De notre court

 

Comme deux gamins

Le cœur a la main

 

Laissons nos cœurs

Se reposer

 

Rappelons-nous

Nos  vieux souvenirs

Main dans main 

 

Sans pensée a demain

Nous vivions le présent

De notre futur

 

yeux poché

Publié: 21 août 2011 dans textes de chansons que j'ai écrite

yeux poché

 

Tu ries avec tes ami(es)

Tu batifolle avec l’alcool

 

Tu fume ton angoise

ben mon vieux

yé temps que ca change

 

Le matin tu te réveille

T’as les yeux pochés

comme ton déjeuner

 

Té amere comme ton calvaire

la cencure ta fait cuir

 

Le téléphone sonne

Encore le patron

 

Ah non

pas encore lui

 

pas besoin de pensé

À lui quand t’as

mal dormi

 

Ta douche à coulé

Que tes dejas habillé

 

Déjas le temps

 D’aller travailler

 

Le matin tu te réveille

T’as les yeux pochés

comme ton déjeuner

 

Té amere comme ton calvaire

la cencure ta fait cuir

 

T’aimerai bien rester

devant le stop

mais l’obligation t’emporte

 

Tu snoob le courant

tu purje par en dedans

 

Denmain ton slip de paye

ben dans le fond

cé le fun de meme

 

orpheline

Publié: 21 août 2011 dans textes de chansons que j'ai écrite

Tu peux pleurer orpheline

 

Il fut un jour ce  jour de pluie ou tu as pleuré

Ou tu as crié au ciel que les anges  m’emportent

 

Tu peux pleurer orpheline

Pour toi orpheline je jouerai

Ton cœur sur ma mandoline

Et chanterai tes souvenirs

 

Tue  erra des nuits à chercher un abri

A contourner le vent du calvaire des nuits

 

Tu penseras encore à lui

Mais ne l’appellera pas

Par peur  encore de lui

 

T’en esquivera les coups de dés

Que les anges ont laissé tomber

 

Tu peux pleurer orpheline

Pour toi orpheline je jouerai

Ton cœur sur ma mandoline

Et chanterai tes souvenirs

 

Come u vieux musicien

J’accompagnerai encore

Les notes de ton destin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J e suis comme je suis

 

Tu me regard

T’en reviens pas

 

Tu te fou de ma gueule

Pis moi je m’en fou

Car je suis comme je suis

 

T’as beau avoir

C eque je n’aie pas

 

Pourvu que moi

Je sois bien

avec moi-meme

 

Dans le fond

de mes tiroirs

 

Pleins de vieux souvenirs

des photos

Qui m’interpele

 

Tu me regard

T’en reviens pas

 

Tu te fou de ma gueule

Pis moi je m’en fou

Car je suis comme je suis

 

Au juste je part

en liaison

avec moin veiux passeport

 

Retrouvé

qui je suis

Qui J’aurai pu etre

 

Je combat mon stress

Car la fatigue m’emporte

Au diable mes vieux remords

 

 

Tu me regard

T’en reviens pas

 

Tu te fou de ma gueule

Pis moi je m’en fou

Car je suis comme je suis

 

 

Quand je serai rendu

Au bout de mon chemin

 

Je me r’apellerai

qui je suis

ui je suis

 

Jean-simon Brisebois

 

 

 

 

notre amour

Publié: 21 août 2011 dans textes de chansons que j'ai écrite

 

Pour un instant   Pour un rêve

D’enfant qui  file droit devant

 

Si seulement notre amour

Pouvait grandir toujours

 

Dans notre ville bien a nous

Orpheline l’amour entre nous

Sera plus forte que les torrents

 

Si seulement l’amour

Elle pouvait  graviter

Les tours de la ville

 

Notre amour grandira toujours

Pour u instant un rêve d’enfant

 

De tous les moments

Qui file droit devant

 

Pour un instant   Pour un rêve

D’enfant qui  file droit devant

 

Si seulement notre amour

Pouvait grandir toujours

 

Notre amour

Pour toujours